Cinéastes Archives - CinémAction https://cinemaction-collection.com/categorie-produit/cineastes/ Une collection thématique Tue, 27 Feb 2024 14:21:45 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5 https://cinemaction-collection.com/wp-content/uploads/2016/02/cinemaction-favicon.png Cinéastes Archives - CinémAction https://cinemaction-collection.com/categorie-produit/cineastes/ 32 32 CinémAction n°165 – Chris Marker : pionnier et novateur https://cinemaction-collection.com/produit/cinemaction-n165-chris-marker-pionnier-novateur/ Mon, 04 Dec 2017 15:16:05 +0000 http://cinemaction-collection.com/?post_type=product&p=3694 Auteur de plus de 80 films, Chris Marker (1921-2012) est devenu une source de fascination tant pour un certain public que pour une génération de réalisateurs. Il ne s’agit pas ici de réduire la diversité de son parcours, les différentes facettes de son engagement en dehors et à côté du cinéma où tour à tour et parallèlement il fut un écrivain, journaliste, éditeur, photographe, producteur et cinéaste prolifique.
Son œuvre ne se résume pas au seul statut d’une production de documentaires perçus au début comme plutôt des films militants ou expérimentaux mais renvoie davantage au processus de création comme un chantier toujours ouvert. Marker engage une réflexion qui déborde le format classique et habituel des images. Autant d’exemples de films emblématiques analysés ici, Lettre de Sibérie, Description d’un combat, Cuba Si ! Le mystère Koumiko, Le fond de l’air est rouge, Sans soleil, Le tombeau d’Alexandre, Chats perchés, Level 5, L’héritage de la chouette… d’une œuvre multiforme partagée entre fiction et documentaire, histoire et mémoire.
L’interactivité filmique, initiée de manière radicale dès 1950, permet d’appréhender une démarche polyphonique qui n’a cessé de montrer et commenter l’histoire du XXe siècle. Ciné-voyageur, Chris Marker reste, de fait, pionnier et novateur dans toute une série de domaines ici explorés. L’originalité de ce numéro s’est construite autour de ces pistes et de ces regards pluriels.

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Sommaire

 

Préambule : Chris Marker, pionnier et novateur, Kristian Feigelson
I. Pionnier
  • Magicien du flou, Christophe Chazalon
  • Le fond de l’air est rouge : Le NU et les morts. Et l’espoir, Jean-Michel Frodon
  • Un producteur franc-tireur : l’expérience coopérative SLON (1968-1973), Catherine Roudé
  • Du temps des images à l’écriture mémorielle, André Habib
II. Filiations
  • Marker et le revue Esprit. A l’origine du film-essai, Sylvain Dreyer
  • Rive droite, rive gauche : face à la « Nouvelle Vague », Vincent Lowy
  • Du chat percheur aux chats marqueurs, Louise Traon
  • Les villes, itinéraires de chiffonnier : De Chats perchés à L’Ouvroir, Shiho Azuma
  • La voix des autres, Johanne Villeneuve
III. Ciné-voyageur
  • Lettre de Sibérie, Kristian Feigelson
  • Description d’un combat, Régine-Mihal Friedman
  • Les filiations à l’Amérique latine, Maria Luisa Ortega
  • On vous parle de Tchécoslovaquie, David Cenek
  • Le tombeau d’Alexandre : la fin du cinéaste rouge, François Lecointe
  • Les images fantômes du Japon, Emi Koide
IV. Novateur
  • Sans soleil : une phénoménologie des apparences, Jarmo Valkola
  • L’héritage de la chouette : une matrice sérielle, Barbara Laborde
  • Story tellings : cinq installations, Etienne Sandrin
  • L’utopie électronique : une nouvelle mobilisation, Bamchade Pourvali
Post-scriptum
  • Anagramme, Catherine Belkhodja
Bibliographie sélective, Kristian Feigelson et Bamchade Pourvali
Filmographie, Christophe Chazalon et Kristian Feigelson

 


A propos du coordinateur

Kristian Feigelson, professeur des universités, enseigne la sociologie du cinéma et de l’audiovisuel à l’université Sorbonne-Nouvelle. Auteur de nombreux ouvrage, il a animé différents ateliers et participé à plusieurs publications autour de Chris Marker (Brésil, Canada, Etats-Unis, France, Israël, Japon, Russie, Tchéquie…).

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CinémAction n°152 – King Vidor, Odyssée des inconnus https://cinemaction-collection.com/produit/152-king-vidor/ Sun, 28 Sep 2014 13:28:32 +0000 http://cinemaction-corlet.com/?post_type=product&p=127 La carrière de King Vidor (1894-1982) suit l'histoire du cinéma hollywoodien jusqu'à la fin des années 50. Il en est la mémoire et s'est conformé, bon gré, mal gré, aux lois du système, tout en produisant des films novateurs, en marge des Studios

Aujourd'hui, sa réputation repose sur quelques grands films comme La foule, Duel au soleil, Le rebelle, Guerre et paix. Mais son cinéma des années 20 et de l'âge d'or de Hollywood demeure oublié. Pour la première fois en France, un ouvrage lui est entièrement consacré, sortant ainsi des limbes cinéphiliques un maître du film expérimental aux multiples facettes : musicien, peintre, poète et philosophe. Face à une œuvre difficile à situer, sont proposés ici des éclairages qui offrent une vision globale du cinéma de Vidor, prenant en compte non seulement ses films les plus connus, mais surtout son cinéma des premiers temps, ses derniers essais cinématographiques et ses scénarii non-filmés.

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Sommaire

Préface : Vidor, King : esquisse d’un portrai,t Jean-Loup Bourge
Préambule, Jean-Marie Lecomte et Gilles Menegaldo

I. Les drames de l’Amérique ordinaire

  • Les films muets de King Vidor : une ontologie américaine, Jean-Marie Lecomte
  • Show People (Mirages, 1928) : fin du muet et début de la réflexion, Marc Cerisuelo
  • Entre Expressionnisme et Néo-réalisme : La foule et l’ère de la machine, Patricia Kruth
  • HallelujahRaphaëlle Costa de Beauregard
  • Notre pain quotidien : entre utopie et réalité, Raphaëlle Costa de Beauregard

II. Névroses et obsessions américaines

  • King Vidor et l’Amérique en guerre : la déraison de l’Histoire, Jean-Marie Lecomte
  • La création selon King Vidor : Le rebelle et Nuit de noces, Philippe Roge
  • La garce : une Emma Bovary sans excuses ?, Laurent Jullier
  • Films de terre et films de pierre : la boue chez Vidor, Trudy Bolter
  • Duel au soleil : opus de Vidor ?, Gilles Menegaldo

III. Genres (gender) et motifs

  • Les westerns de King Vidor : une esthétique très soignée, Matthieu Lacoue-Labarthe
  • King Vidor : un esprit d’escalier, Jean-François Buiré
  • La représentation de New York dans trois films de King Vidor, Enrique Seknadje
  • Variations sur deux thèmes, ou comment faire vivre les conventions, Yves Carlet
  • Stella, Rosa, Ruby, victime consentante, garce et exilée : King Vidor et le women’s pictureChristian Viviani
  • Le duel dans le marécage, ou comment King Vidor « southernise » un western, Taïna Tuhkunen
  • L’œuvre ultime : Guerre et paixJean-Loup Bourget

IV. Vidor après Hollywood : les nouvelles vagues à l’âme

  • Souvenirs de King Vidor, maître du cinéma muet, Kevin Brownlow
  • Introspection et rétrospection : l’art du film de King Vidor, Jean-Marie Lecomte
  • King Vidor, cinéaste essayiste, Dario Marchiori

Filmographie, Jean-Marie Lecomte
Bibliographie sélective, Jean-Marie Lecomte


À propos des coordinateurs

Jean-Marie Lecomte : maître de conférences à l’université de Nancy, agrégé d’anglais. Spécialiste du cinéma américain de l’entre-deux-guerres. Auteur de plusieurs articles sur l’esthétique du muet, l’avènement du cinéma parlant et le cinéma pré-code (dont la genèse de la parole filmique, la poétique du muet chez Lubitsch, la naissance du film musical et du Technicolor (Vidor, Mamoulian) et les figures de la femme pré-code (J. Harlow, B. Stanwyck, M. West, G. Garbo, etc.), collaborateur de CinémAction.
Gilles Menegaldo : professeur de littérature américaine et cinéma à l’université de Poitiers. Auteur de nombreux articles sur la littérature et le cinéma fantastique, SF et policier, éditeur d’une vingtaine d’ouvrages collectifs, dont Dracula, la noirceur et la grâce (avec AM Paquet-Deyris, Atlande, 2006). Derniers ouvrages dirigés : Jacques Tourneur, CinémAction, 2006, Les Imaginaires de la ville entre littérature et arts (avec H. Menegaldo, PU Rennes, 2007), Cinéma et histoire (avec Melvyn Stokes, Michel Houdiard, 2008), Persistances gothiques dans la littérature et les arts de l’image (avec Lauric Guillaud, Bragelonne, 2012), Europe et Hollywood à l’écran : regards croisés (Michel Houdiard, 2012).

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CinémAction n°141 – Le mystère Franju https://cinemaction-collection.com/produit/141-le-mystere-franju/ Wed, 28 Dec 2011 15:04:07 +0000 http://cinemaction-corlet.com/?post_type=product&p=161 L’œuvre de Georges Franju, co-fondateur de la Cinémathèque française, n’a rien perdu de son mystère : oscillant entre le naturalisme du XIXe siècle et un « fantastique » empreint d’images horrifiques, elle ne cesse de se dérober. Afin de tenter de la cerner au mieux, cet ouvrage se propose d’étudier ses principaux thèmes et thématiques d’un point de vue esthétique et idéologique, de se pencher sur son approche du serial et de l’adaptation littéraire, de La tête contre les murs à Nuits rouges, en passant, entre autres, par Les yeux sans visage ou Judex, sans négliger par ailleurs son versant télévisuel. Le Mystère Franju comporte également des propos inédits de Franju lui-même et de son collaborateur Jacques Champreux.

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Sommaire

Préface, Frank Lafond

I. Franju en quelques thèmes
  • Expérimentation, déterminisme : la science à l’œuvre chez Franju, Roxane Hamery
  • Notes sur quelques troubles occasionnés par l’Insolite, Alban Jamin
  • Un univers poétique, Marion Poirson-Dechonne
  • Au cœur du cinéma de Georges Franju : le principe de l’évasion,
  • Grand-guignolesque (et fier de l’être) : Franju adepte du théâtre du Grand-Guignol, Alban Jamin
  • Altérité, violence et (dés)humanisation dans les films de Georges Franju, Kate Ince
  • Les hommes en proie aux institutions, Nicolas Schmid
II. Lectures de films
  • Les faces multiples du réel : Le sang des bêtes, Andrea Grunert
  • Songe de cinéma dans La première nuit, Marie Martin
  • La tête contre les murs, un Franju pur d’horreur de la folie ordinaire, Albert Montagne
  • Quelle horreur ? ! Les yeux sans visage, Eve Le Louarn
  • Pleins feux sur l’assassin : un travail d’évacuation, Chris Fujiwara
 III. Franju et la forme feuilletonesque
  • Judex : un film minéral, imago de Feuillade, Benjamin Thomas
  • Nuits rouges ou « l’ancien et le moderne », Frank Lafond
  • (Dé)masquer L’homme sans visageFrank Lafond
IV. Questions d’adaptation
  • La princesse et le comédien : carnaval, amour et fantaisie, Muriel Lafond
  • Thérèse Desqueyroux ou la quête de l’identité, Dominique Verbeken
  • Thomas l’imposteur : la représentation de la guerre, d’un rêveur à l’autre, Muriel Lafond
  • La faute de l’abbé Mouret : emprise de la représentation, Benjamin Thomas
  • Le clair-obscur de La ligne d’ombre, Philippe Met
V. Discours de (et autour de) Franju
  • Entretiens avec Georges Franju, Jean-Pierre Pagliano
  • Entretien avec Mocky à propos de Franju, ou le « revers de la médaille », Frank Lafond
  • Georges Franju par Georges Franju. Le discours de la méthode à l’épreuve des films, Roxane Hamery
  • La réception critique du cinéma de Georges Franju, Gérard Leblanc
  • Conversation avec Jacques Champreux, Frank Lafond et Benjamin Thomas

Filmographie, Frank Lafond
Bibliographie sélective, Frank Lafond


À propos du coordinnateur

Frank Lafond : docteur en études cinématographiques, il enseigne le cinéma à la FLSH de Lille. Il travaille notamment sur le cinéma fantastique et le film noir ; il a publié (en français comme en anglais) des articles dans Positif, Simulacres, CinémAction, Iris/Les Cahiers du Cerf, La Licorne, Tausend Augen, Post Script et Kinoeye. Il a participé à de nombreux ouvrages collectifs, parmi lesquels Le crime organisé à la ville et à l’écran (États-Unis, 1929-1951) (2002), 24 Frames : Cinema of the Low Countries (2004), 1001 films (2004), Japanese Horror Cinema (2005), Roman Polanski, l’art de l’adaptation (2006), Le corps filmé (2006), The Cinema of Tod Browning : Essays of the Macabre and Grotesque (2008) ou encore New York on Film, Sorciers et sorcières à l’écran et La notion d’oeuvres complètes. De 2004 à 2008, il fut le rédacteur en chef de Rendez-vous avec la peur, revue consacrée aux genres de la peur. Il a dirigé Cauchemars américains : fantastique et horreur dans le cinéma moderne (Céfal, 2003), George A. Romero, un cinéma crépusculaire (Michel Houdiard Éditeur, 2008) et Cauchemars italiens volume 1 et volume 2 (l’Harmattan, 2011). Les Presses Universitaires de Rennes ont publié en 2007 Jacques Tourneur, les figures de la peur.

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CinémAction n°140 – Cinéma et engagement, Jorge Semprun scénariste https://cinemaction-collection.com/produit/140-jorge-semprun-scenariste/ Wed, 28 Sep 2011 14:06:15 +0000 http://cinemaction-corlet.com/?post_type=product&p=162 L’ouvrage Cinéma et engagement : Jorge Semprún scénariste vient combler un vide important dans les études sur la figure de l’écrivain franco-espagnol Jorge Semprún, celui de sa contribution au cinéma : une quinzaine de scénarios pour des réalisateurs tels que Costa-Gavras, Alain Resnais ou Yves Boisset, de Z à L’aveu en passant par Stavisky, L’attentat, L’affaire Dreyfus ou Section Spéciale. Ce projet réunit les travaux d’une vingtaine de chercheurs européens provenant de différentes aires scientifiques qui rendent compte de la complexité rhétorique des scénarios de Semprún, souvent appréciés pour leurs prises de position. L’ouvrage s’enrichit en final d’un entretien avec Jorge Semprún lui-même.

 

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Préambule : cinéma, littérature et engagement chez Jorge Semprún, Jaime Céspedes

I. Vues d’ensemble
  • L’écriture cinématographique de Jorge Semprún : relais identitaire d’un auteur engagé, Françoise Nicoladzé
  • Le cinéma dans l’écriture, Françoise Kroichvili
II. Jorge Semprún scénariste
  • Des voix entre les lignes : la Guerre d’Espagne, est-elle vraiment finie ?, Vicente Sánchez-Biosca
  • Les quatre âges : le scénario comme palimpseste dans La guerre est finie, Juan Miguel Company et Vicente Ponce
  • La guerre est finie, germe d’Autobiographie de Federico Sánchez Begoña, Gala Guillén
  • La guerre est finie : notes pour une biographie collective, Jordi Mir García
  • Z : du roman au film en passant par l’écriture de la vie, Anna Bucarelli
  • Filmer le politique : le cas Z, Christophe Premat
  • Seulement la vérité révolutionnaire : des annotations sur L’aveu Andrés, Rubín de Celis
  • Stavisky… : les coulisses de l’Histoire, Viviane Thill
  • Les collaborations entre Jorge Semprún et Yves Boisset : L’attentat et L’affaire Dreyfus, Jaime Céspedes
  • Section Spéciale : le procès d’une juridiction d’exception ordinaire, Nathalie Nezick
  • Une fenêtre ouverte sur l’engagement : Une femme à sa fenêtre, Felipe Aparicio Nevado
  • L’engagement absolu : Une femme à sa fenêtre, Thierry Giaccardi
  • Trois blessures : Les routes du Sud, Jaime Céspedes
  • La guérilla, une lecture moderne et progressiste de l’Histoire Andrés, Rubín de Celis
  • Projection biographique et idéologique de Jorge Semprún dans La guérilla, José Manuel Goñi Pérez
  • Mémoire et vérité : Jorge Semprún et K, Elena Pellicciotti
  • Les collaborations entre Jorge Semprún et Franck Apprederis, Jaime Céspedes
III. Jorge Semprún réalisateur
  • La mémoire frustrée : Les deux mémoires, Román Gubern
  • Le moment des questions : Les deux mémoires, Jaime Céspedes
IV. Jorge Semprún auteur adapté
  • De l’adaptation télévisée d’un roman : Le grand voyage, Viviane Thill
  • Filmer le paysage : l’adaptation du Grand voyage de Jean Prat, Christophe Premat
  • Netchaïev est de retour : éloge de la démocratie ou tragédie de sa corruption ?, Bénédicte Brémard
 V. Annexes
  • Entretien avec Jorge Semprún, Françoise Nicoladzé
  • Filmographie, Jaime Céspedes
  • Bibliographie, Jaime Céspedes
  • Chronologie, Jaime Céspedes et Andrés Rubín de Celis

À propos du coordinnateur

Jaime Céspedes Gallego, maître de conférences en civilisation de l’Espagne contemporaine à l’Université d’Artois à Arras, docteur de l’Université Paris 10 – Nanterre, enseignant invité à l’Université d’Aberystwyth (Pays de Galles), a notamment publié La autobiografía española de los años 1990 : Jorge Semprún, Castilla del Pino, Terenci Moix y Antonio Martínez Sarrión (Presses Universitaires de Nanterre, 2005), La obra literaria, cinematográfica y dramática de Jorge Semprún (Peter Lang, 2011) et de nombreux articles sur le documentaire et le cinéma espagnol à thématique historique.

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CinémAction n°133 – Alexandre Sokourov https://cinemaction-collection.com/produit/cinemaction-n133-alexandre-sokourov/ Tue, 05 Jan 2010 13:48:52 +0000 http://cinemaction-corlet.com/?post_type=product&p=3125 Reposant sur des sources d'informations inédites, ce volume se propose d'embrasser, dans une perspective de réflexion critique menée par des spécialistes confirmés, tous les aspects d'une œuvre abondante – plus de 40 films en trente ans (1978-2008) – mais peu connue en France. Il s'ordonne en deux grandes parties : la première inscrivant l'itinéraire de Sokourov dans un contexte historique et politique et dans ses registres thématiques et esthétiques, confronté à l'histoire littéraire et à la culture russe. La deuxième, composée d'études approfondies des neuf films les plus significatifs, d'Une vie humble à Le soleil.

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Sommaire
Avant-propos, François Albera et Michel Estève
I. Sokourov et les cinémas russe et soviétique
  • Alexandre Sokourov : de la singularité à l’exemplarité, François Albera
  • Un cinéma de la disparité : kairos et Histoire chez Sokourov, Mikhaïl Iampolski
  • L’horizon paisible de la fin du monde : Sokourov et la littérature russe, Leonid Heller
  • Le spectre des images, Sylvie Rollet
  • La poétique sonore de Sokourov, Philippe Roger
  • La poétique de l’espace chez Sokourov, Diane Arnaud
II. Elégies et films politiques
  • L’hymne au maître Tarkovsky : note sur Elégie de Moscou, Aurélien Vernhes-Lermusiaux
  • Portrait d’Iroko : Une vie humble, René Prédal
  • Moloch : c’était un homme, Yannick Lemarié
  • Taureau : linceuls de Lénine, François Albera
  • Elégie de la traversée : les voix spirituelles du temps, Didier Coureau
  • Une thématique familiale : Mère et fils, Père, fils, André Z. Labarrère
  • L’arche russe ou le musée immortel, Michel Estève
  • Moloch, Le soleil : Portraits de familles au petit pied : Hitler, Hirohito, André Z. Labarrère
Filmographie, Sylvie Rollet
Bibliographie sélective, François Albera

 A propos du coordinateur

François Albera est professeur d’histoire et esthétique du cinéma à l’université de Lausanne. Secrétaire de rédaction de la revue de l’Association Française de Recherche sur l’Histoire du Cinéma, 1985. Editeur en français de textes d’Eisenstein, Koulechov, Barnet, des Formalistes russes. Auteur notamment de : Albatros, des Russes à Paris (1919-1929) et L’Avant-Garde au cinéma. Michel Estève : docteur ès lettres (thèse d’Etat sur Bernanos), directeur de la collection « Etudes cinématographiques » (Lettres Modernes Minard) depuis 1973. Auteur d’une dizaine de livres sur Bernanos, Bresson et le cinéma. Parmi ses derniers ouvrages publiés : Un cinéma humaniste, Cerf-Corlet, collection « 7e Art ».

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CinémAction n°131 – Amos Gitaï, entre terre et exil https://cinemaction-collection.com/produit/cinemaction-n-131-amos-gitai-entre-terre-exil/ Mon, 07 Sep 2009 11:26:47 +0000 http://cinemaction-corlet.com/?post_type=product&p=3131 Comment Amos Gitaï, le meilleur cinéaste de son pays, où il est plus souvent critiqué que hors de ses frontières, porte un regard sans complaisance sur celui-ci, c’est ce à quoi s’attache à traiter cet ouvrage.Entre terre et exil, d’Esther (1985) au Désengagement (2007), en passant par la trilogie urbaine Devrarim (1995), Yom-Yom (1998) et Kadosh (1999), cet ensemble dresse le portrait d’un cinéaste-architecte entre origines et futur, qui sait mieux que personne, et par l’intermédiaire du plan-séquence, mettre en scène ou en espace le politique au cinéma. Des entretiens entre le cinéaste et Arthur Miller agrémentent le tout.

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Sommaire
Préambule
Repères biographiques
I. Une question de regard
  • Esthétique de la traversée: paysagéité et nomadisme, Berlin Jérusalem et Kedma, Didier Coureau
  • Notions de liberté, d’autorité et d’exil dans KadoshMenachem Feuer
  • Entretien avec Amos Gitaï à propos de Kadosh, Marie-José Sanselme
  • La terreur en spectacle: 11 ’09″01, Walid El Khachab 
II.    Entre hier et aujourd’hui : l’espace et la terre
  • Série Exil partie 1, Esther et Berlin Jérusalem, Ray Privett
  • Série Exil partie 2, La trilogie du Golem, Ray Privett
  • Bait, une maison déconstruite à Jérusalem, Ariel Schweitzer
  • Enonciation par le plan-séquence, Kedma et 11 ’09″01, Lucie Dugas
  • Conversations: Amos Gitaï et Arthur Miller: A propos d’Eden… Extraits
  • Encadrés: deux extraits du scénario d’Eden, Amos Gitai; Marie-José Sanselme, Nick Villiers
III. Images et traces de la guerre
  • Mise en espace du politique au cinéma avec KippourGuillaume Lafleur
  • Kippour:  le silence et l’oubli, May Telmissany
  • Expiation : Souvenirs de guerre et Kippour, Ray Privett
  • Kippour ou l’anatomie d’un traumatisme, Yaël Munk
 IV. D’hier à demain: toujours  l’espace
  • Esther ou le Pourim-shpil d’ Amos Gitaï, Ariel Schweitzer
  • Histoire de trois villes : la trilogie urbaine, Yosefa Loshitzky
  • Amos Gitaï, Berlin Jérusalem et Kedma, Jerry White
  • A propos de Terre promise, Richard Oliva
  • Bait, le cinéma architecte, Dominique Trocnet
  • Terre maintes fois promise, Ariel Schweitzer
  • Free Zone, outrepasser les frontières, Lucie Dugas
  • Entre origines et identité : Plus tard tu comprendras, Nicole Sizaret
  • La naissance du film, Monique Martineau
Filmographie, Lucie Dugas
Bibliographie sélective, Lucie Dugas

 

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CinémAction n°127 – Visconti dans la lumière du temps https://cinemaction-collection.com/produit/cinemaction-n127-visconti-lumiere-temps/ Sat, 15 Mar 2008 09:42:16 +0000 http://cinemaction-corlet.com/?post_type=product&p=3144 Luchino Visconti a su marquer l’histoire du septième art et rester, plus de trente ans après sa mort, un maître dont la plupart des films jouissent toujours d’une grande popularité. Son œuvre allie des sujets historiques ambitieux, de Ludwig aux Damnés, à une exploration fine et profonde de la conscience humaine, de Sandra à L’Innocent. Son évolution stylistique, qui va du néoréalisme au baroque, lui confère une richesse exceptionnelle.
Cet ouvrage réunit d’éminents spécialistes de Visconti, des universitaires et des critiques dont les analyses reflètent la complexité de son œuvre. Il comprend également des témoignages inédits de collaborateurs du cinéaste : les comédiens Dominique Sanda et Jean Sorel, la scénariste Suso Cecchi d’Anito et le photographe Mario Tursi.

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Sommaire
  • Préambule : Le maître des temps, Denitza Bantcheva
I. Filmer et refaire l’histoire
  • Le néoréalisme selon Visconti, Isabelle Alvaresse
  • Les lumières de la décadence, Michèle Lagny
  • Visconti historien, Aurélien Portelli
  • Images de l’Italie, Aurélien Portelli
  • Le rouge et le noir, Olivier Maillart
II. Thèmes et leitmotive
  • Passion, destin, déraison : l’amour à mort, Noëlle Benhamou
  • Les corps dans l’ombre : cruauté et volupté dans l’œuvre de Visconti, Roberto Chiesi
  • Ambivalences de la famille, Rory Mulholland
  • Irrésistibles déesses, Philippe Coutarel
  • Retours de flamme d’enfance perdue, Philippe Coutarel
  • L’univers de l’aristocratie, Raphaëlle Pache
  • Le fantôme du travail, Mariange Lapeyssonnie, (Ramozzi-Doreau)
III. Les sources d’une inspiration
  • Du côté de Dostoïevski, Raphaëlle Pache
  • En dialogue avec Thomas Mann et Proust, Stéphanie Dast
  • Moments d’écoute : quand l’opéra déploie le film, Michèle Lagny
  • Visconti et la musique, Vivien Villani
  • Tableaux vivants viscontiens, Laurent Darbellay
  • Les valeurs de l’architecture, Laurent Darbellay
  • Chemin intérieur, Suzanne Liandrat-Guigues
IV. La palette du maître
  • Esthétiques narratives, Stéphanie Dast
  • Les personnages viscontiens, Denitza Bantcheva
  • D’Ossessione à Vaghe stelle dell’Orsa : l’œuvre au noir, Laurence Schifano
  • Du classicisme au baroque, Roland Schneider
  • Visconti et le mélodrame, Veronica Pravadelli
  • Le goût du détail, Laurent Darbellay
  • Visconti versus Fellini et Antonioni, Denitza Bantcheva
V. Témoignages
  • Suso Cecchi d’Amico, Denitza Bantcheva
  • Jean Sorel, Denitza Bantcheva
  • Dominique Sanda, Denitza Bantcheva
  • Mario Tursi, Roberto Chiesi
Filmographie, Denitza Bantcheva
Bibliographie sélective, Michèle Lagny

 


À propos de la coordinatrice

Ecrivaine et critique, docteur es lettres modernes, Denitza Bantcheva a publié des romans, récits, nouvelles, poèmes, ainsi que des écrits de cinéma, dont Jean-Pierre Melleville de l’œuvre à l’homme (L’Herne). Elle a dirigé pour CinémAction les numéros 92 : Stars et acteurs du cinéma français, 96 : L’univers de Joseph Losey, 107 : L’écran amoureux, et 117 : Fassbinder l’explosif.

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CinémAction n°125 – Tod Browning, fameux inconnu https://cinemaction-collection.com/produit/cinemaction-n125-tod-browning-fameux-inconnu/ Tue, 15 May 2007 10:09:15 +0000 http://cinemaction-corlet.com/?post_type=product&p=3149 Ce volume consacré à Tod Browning est le premier ouvrage publié en France sur l’ensemble de l’œuvre de ce cinéaste. Il est composé de 6 parties : 1) Le parcours de Tod Browning dans et hors du cinéma ; 2) Le rôle des textes et des mots dans son œuvre ; 3) L’importance centrale du corps dans ses films ; 4) La singularité de ses mises en scène ; 5) Un ensemble de textes sur Freaks ; 6) Des études de ses principaux films, par ordre chronologique. Dans cette dernière partie, un texte est pour la première fois consacré à un film récemment retrouvé et restauré par les Archives françaises du film : The Deciding Kiss. Le sommaire de ce CinémAction réunit certains des plus grands spécialistes de Browning (Patrick Brion, Leonardo Gandini, Elias Savada, David Skal, Bret Wood…) mais aussi de jeunes auteurs appartenant à une nouvelle génération d’admirateurs du cinéaste.

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Sommaire
  • Préambule : Saisissant et insaisissable Tod Browning, Pascale Risterucci
I. Tod Browning, fameux inconnu : élements biographiques
  • Le spectacle, composante autobiographique, Boris Henry
  • Revenants, vampires, boxeurs : premières expériences du parlant, Leonardo Gandini
  • Lente disparition : les dernières années de Browning à la MGM, Bret Wood
  • Qui oserait produire Freaks aujourd’hui ? Entretien avec Patrick Brion, Pascale Risterucci et Marcos Uzal
II. Mises en mots
  • Tod Browning scénariste : quelques indices, Dominique Villain
  • Ce qui est dit est dit, Pascale Risterucci
  • Out of the Tomb (extraits d’une nouvelle de Charles R.Allen alias Tod Browning)
  • Autour d’une pulp story, Pascale Risterucci
III. Mises en corps
  • Le corps est un animal encombrant, Marcos Uzal
  • Démesure de la douleur, Jean-Marie Samocki
  • D’un usage androgyne du monstre sacré : Pricilla Dean et Lon Chaney, Pascale Risterucci
  • L’acteur, ce criminel avait une âme : portraits de Lon Chaney, Sandra Larrosa
  • Le personnage du nain : une figure « auratique », Carole Wrona
IV. Mises en scène
  • Browning et le genre, Denis Lévy
  • L’encadrement, une rhétorique de l’avalement, Boris Henry
  • Formes de la cruauté, Raphaël Lefèvre
V. Freaks
  • La difficile histoire de Freaks, Elias Savada, David Skal
  • Biofilmographie de quelques-uns des « freaks », Pascale Risterucci
  • Reine et poule, Pascale Risterucci
  • Le cirque de la cruauté : piste sans étoile pour corps sans frontière, Dick Tomasovic
  • Tout le monde dit « Gooble, gable » : regards croisés sur Freaks aujourd’hui. Entretiens avec R. Haig, M. Fraser, J-L. Orofino et G. de Kermabon, Diane Maroger
VI. Au fil des films
  • The Deciding Kiss : histoire d’un film perdu puis retrouvé, Eric Loné
  • Le club des trois : la dérègle du jeu, Florent Guézengar
  • The Mystic ou le fragile scintillement d’Aileen Pringle, Frédéric Favre
  • La morsure : comment un Cock risque d’être transformé en chapon, Boris Henry
  • L’inconnu : le suicide d’une mise en scène, Thibaut Emin
  • Qu’as-tu vu à London After Midnight ? Jean-Marie Samocki
  • La question du tragique dans A l’ouest de Zanzibar, Pierre Ancelin
  • Dracula et La marque du vampire : les vampires ordinaires du cinéma, Stéphane du Mesnildot
  • Les poupées du Diable : au seuil de la taille, Carole Wrona
  • Miracles for Sale : la mort escamotée, Marcos Uzal
Biographie, Pascale Risterucci
Filmographie, Marcos Uzal
Bibliographie sélective, Boris Henry et Marcos Uzal

 


A propos des coordinateurs

Pascale Risterucci est docteure ès lettres, diplômée de l’Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (IDHEC), maître de conférences en cinéma à l’université Paris 8. Elle a publié des articles, dans Art Press, L’art du cinéma…, sur le cinéma de l’insolite (Tod Browning, Georges Franju, David Lynch), Les femmes cinéastes (coordination avec M. Calle-Gruber de Nelly Kaplan, Le verbe et la lumière, L’Harmattan 2004), certains vidéastes contemporains (Marcel Dinahet Périples/Travellings avec Dominique Abensour et Jean-Marc Huitorel, ed. Le Quartier 2001), ainsi que sur Alain Resnais et Aki Kaurismäki.  Auteure réalisatrice d’une quinzaine de courts et moyens métrages, de fiction et documentaires, elle prépare actuellement un film sur l’« Outback » australien.

Marcos Uzal a écrit pour Trafic, Vertigo, Cinéma et Exploding. Il est coauteur du livre collectif Pour Joâo Monteiro – Contre tous les feux, le feu, mon feu (Yellow Now, 2004) et codirecteur de la collection « Côté films » aux éditions Yellow Now, pour laquelle il a écrit un ouvrage consacré à Vaudou de Jacques Tourneur. Il a également réalisé quatre courts métrages.

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CinémAction n°120 – Jacques Tourneur, une esthétique du trouble https://cinemaction-collection.com/produit/cinemaction-n120-jacques-tourneur-esthetique-trouble/ Sat, 15 Apr 2006 12:01:23 +0000 http://cinemaction-corlet.com/?post_type=product&p=3160 Esthétique du trouble, de la peur, film noir, fantastique, carrefour des genres, spiritualité et transcendance, secret, labyrinthe. En cette époque du tout "montrable", il est d'autant plus nécessaire de replonger aux sources d'un maître de l'économie visuelle tel que Jacques Tourneur (1904-1977). Fils du cinéaste Maurice Tourneur, né à Paris et devenu citoyen américain en 1919, il aura tourné ses premiers films en France et aux Etats-Unis sous le patronnage de son père. S'il brasse tous les genres, film noir, thriller, western, film d'aventures pseudo-historiques, peplum, film de guerre, c'est surtout dans le fantastique qu'il saura donner toute sa mesure, de La féline à L'homme-léopard en passant par Vaudou, avec une touche poétique et transcendantale spécifiquement tourneurienne où règne l'ambiguité. N'est-ce pas justement par l'esthétique du trouble, la mise en scène du secret que ce cinéaste iconoclaste annonce sa propre postérité, toute de modernité annoncée ?

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Sommaire
  • Préface, Jacques Lourcelles
  • Préambule : Les sortilèges de Jacques Tourneur, Gilles Menegaldo
I. Prémisses
  • L’amour années 30 dans les films français, Nicolas Schmidt
  • Premier rendez-vous avec la peur : les courts métrages fantastiques, Frank Lafond
  • Le cinéma des traces : notes sur la collaboration de Jacques Tourneur et Val Lewton, Chris Fujiwara et Larysa Smirnova
  • Esprit d’enfance, Philippe Roger
II. Une esthétique de la peur : le fantastique selon Tourneur
  • Parcours dans les ténèbres : quelques « walks » tourneuriens, Gilles Menegaldo
  • La féline : le visible et l’invisible, Pascal Couté
  • Monstrueuses mutations : Tourneur et la question de la transformation, Ian Conrich
  • La poétique de l’ambiguïté dans I Walked with a Zombie, Gilles Menegaldo
  • Mourir de peur : L’homme-léopard, Antonin Moreau
  • Le fantastique à rebours, David Vasse
III. Eclats du noir : privés, gangsters et soldats de l’ombre
  • Les factionnaires du sombre : Jacques Tourneur et le film noir, Philippe Ortoli
  • Héros de conduite et laissés-pour-compte dans They All Come Out, Youri Deschamps
  • L’enquête est close (Circle of Danger) ou l’empreinte du Noir, Anne-Marie Paquet-Deyris
  • Days of Glory (Jours de gloire) ou le couple Eros et Thanatos revisité, Raphäelle Costa de Beauregard
  • De la guerre chaude à la guerre froide : Berlin Express et The Fearmakers, Reynold Humphries
IV. Parcours aventureux : au carrefour des genres
  • Le genre en questions : Jacques Tourneur et le western, Philippe Roger
  • Le marshal de Wichita, Jean-Louis Leutrat et Suzanne Liandrat-Guigues
  • Le double visage de l’aventure, Jean-Pierre Piton
  • « Désexuez-moi » : mascarade et construction narrative de l’identité dans La flibustière des Antilles, Celestino Deleyto
  • Une drôle d’aventure : à propos de Timbuktu, Reynold Humphries
  • Angoisses de l’herméneutique (Experiment Perilous), Philippe Met
V. Poétique tourneurienne
  • Ce que l’on nous cache, Daniel Fischer
  • Tempo baroque d’un cinéaste iconoclaste ou Seuls sont les indomptés, Jean-Michel Hellio
  • Tourneur et le carnavalesque : une poétique ruinée, Florent Christol
  • Au trouble des images, la parole en porte-à-faux, Guy Astic
  • Film et chuchotement : de l’ascèse à la virtualité, Soue-Won Rhee
VI. Spiritualité et transcendance
  • Ailleurs et au-delà : réflexions sur le surnaturel, Yann Calvet
  • La transcendance Tourneur, Jean-Michel Durafour
  • Spiritualité de la lumière, Luc Vancheri
VII. Marges
  • La bataille de Marathon ou l’expérience italienne, Florent Fourcart
  • Tourneur et la télévision : « une entreprise commerciale et rien d’autre » ? Frank Lafond
Postface, Jerome Charyn
Filmographie
Bibliographie sélective

 


A propos du coordinateur

Gilles Menegaldo, ancien élève de l’ENS de Saint Cloud, Professeur de Littérature et Cinéma à l’URF Lettres et Langues de l’Université de Poitiers est également directeur du Département Arts du spectacle. Président de la Sercia (Société d’études et de recherches sur le cinéma anglo-saxon) et des Rencontres internationales Henri Langlois (festival de cinéma) de Poitiers, organisateur de colloques, il est également éditeur de la revue La licorne consacrée au cinéma où il a publié notamment des articles, ainsi que dans CinémAction, sur Tourneur, Whales, Burton, Allen, Altman, Losey, le film noir… Il a également publié aux éditions Autrement Frankenstein, figures mythiques et aux éditions Ellipses Dracula (avec D. Sipière).

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CinémAction n°117 – Fassbinder l’explosif https://cinemaction-collection.com/produit/cinemaction-n117-fassbinder-lexplosif/ Sun, 15 May 2005 13:07:43 +0000 http://cinemaction-corlet.com/?post_type=product&p=3166 Histoire de l'Allemagne, monde des déshérités, marginalité, portraits de femmes, esthétique de l'oppression... Fassbinder fut et reste, plus de 20 ans après sa mort, le créateur majeur du second âge d'or du cinéma allemand. Phénoménalement doué et spécifique – en littérature, au théâtre, au cinéma et à la télévision – il est l'auteur d'une œuvre où s'inscrivent l'histoire mouvementée de son pays et les conflits intérieurs de l'homme moderne, représentés avec une puissance expressive qui s'allie à la plus grande profondeur. Cet ouvrage, en faisant retour sur cet enfant prodige qui nous délivre ses messages, cherche à rendre compte de la complexité d'un monde qui, de Katzelmacher au Secret de Veronika Voss en passant par Tous les autres s'appellent Ali ou Le mariage de Maria Braun, à travers l'évolution d'un style, prend une actualité nouvelle.

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Sommaire
  • Préambule : retour sur un enfant prodige, Denitza Bantcheva
I. L’évolution d’un style
  • Les courts métrages de Fassbinder : premiers signes d’inconduite, Nicolas Schmidt
  • Fassbinder, fils de la Nouvelle Vague (L’amour est plus froid que la mort), Denitza Bantcheva
  • Le détournement des genres (Rio das Mortes, Whity, Le soldat américain), Raphaëlle Pache
  • Prenez garde à la sainte putain et Le rôti de Satan, des films charnières, Françoise Dahringer
  • Le travail sur la lumière, Françoise Dahringer
  • Les vulnérabilités révélées : identité des personnages de Fassbinder et formes de la narration filmique, Roberto Chiesi
II. Thèmes et formes
  • La société vue par Fassbinder, Françoise Dahringer
  • Fassbinder et l’histoire de l’Allemagne, Daniel Sauvaget
  • Métaphores des survivances du nazisme (Le secret de Veronika Voss et Martha), Philippe Coutarel
  • Récits et esthétique de l’oppression, Andrea Grunert
  • Fassbinder : un cinéaste de l’immobilité ? Ludovic Cortade
  • Les figures de l’enfermement, Mariange Ramozzi-Doreau
  • Un exercice de style : Pourquoi Monsieur R. est-il atteint de folie meurtrière ?Antony Fiant
III. Educations sentimentales
  • Portraits de femmes couvertes d’opprobre, Antony Fiant
  • La femme mythique : de Veronika Voss à Lola, Roland Schneider
  • Une tendresse ambivalente : Petra von Kant et Querelle, Roland Schneider
  • De Fox à Querelle, le cinéma « queer » de Fassbinder, Davide Oberto
  • Inévitables trahisons (La femme du chef de gare, Lola, Le mariage de Maria Braun), Denitza Bantcheva
  • Images de la cruauté (Roulette chinoise et L’année des treize lunes), Raphaëlle Pache
  • L’amour chez Fassbinder : le douloureux constat de l’impossibilité du sujet, Michel Serceau
IV. Un cinéma à la croisée des arts
  • Fassbinder, le cinéma et le théâtre : quelques éléments de réflexion, Marielle Silhouette
  • Huit heures ne font pas un jour : une telenovela prolétarienne, Daniel Sauvaget
  • La littérature, la télévision, le cinéma : Berlin Alexanderplatz, Michel Serceau
  • Du livre à l’écran (Effi Briest, Despair, Querelle), Stéphanie Dast
  • Structures musicales héritées de l’opéra : ouverture et leitmotiv, Vivien Villani
  • Présence de la peinture dans l’œuvre de Fassbinder, Vivien Villani
Filmographie
Bibliographie

 


A propos de la coordinatrice

Denitza Bantcheva est docteure d’Etat ès Lettres, écrivain et critique. Elle a publié récits, poèmes, romans ainsi qu’un ouvrage consacré à Jean-Pierre Melville aux Editions de L’Herne. Elle a dirigé les numéros de CinémAction Stars et acteurs en France, L’univers de Joseph Losey et L’écran amoureux.

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